Elle ne peut être envisagée que si l’entreprise décide de la faire passer à son salarié.
Le programme est à peu près le même pour ce qui concerne la prise en charge des victimes mais le Sauveteur Secouriste du Travail est surtout formé à la prévention des risques liés à son activité.
Le moniteur insistera sur les brûlures s’il forme des chauffagistes, sur les hémorragies et les plaies s’il forme des ouvreurs d’huîtres, sur le massage cardiaque s’il forme des électriciens etc.
Enfin, contrairement au PSC1, le dispositif de formation SST impose une obligation de Maintien et actualisation des Compétences, tous les 24 mois, anciennement appelée recyclage.
Un sauveteur secouriste du travail (SST) est une personne formée aux premiers secours et préposée à les dispenser, c’est-à-dire chargée par l’employeur de dispenser les gestes de premiers secours en cas d’accident du travail. Il s’agit d’une délégation de l’employeur en matière d’hygiène et sécurité du travail. En France, le SST aussi est un diplôme sanctionnant la formation du sauveteur secouriste du travail (SST).
Non, il existe bien une équivalence, mais celle-ci ne fonctionne pas dans les 2 sens. Une personne qui possède le SST est réputé détenir le PSC1 (équivalence définit directement sur les certificats remis aux stagiaires à l’issue des formations).
En revanche l’inverse n’est pas valable. Pour obtenir l’équivalence SST, un titulaire du PSC1 depuis moins de 2 ans, devra suivre un module de formation complémentaire qui devra porter sur les compétences que le stagiaire ne possède pas pour devenir SST. Le stagiaire devra à l’issue, être validé sur l’ensemble des compétences visées du SST, et passer l’intégralité des épreuves certificatives.